12 octobre 2010

ROSES ARE BLUE.
Pauline : Fringues vintages.
Moi : gilet Camaïeu - tee Only


A partir du jour où je n'ai plus eu besoin de rien dire, à partir du jour où je sus pouvoir venir quand je voulais, à partir du jour où tout a vraiment commencé, à partir du jour où nous écoutâmes un silence partagé, à partir de ce jour j'ai su que j'étais dans la merde, vraiment, que cette fois je n'allais pas pouvoir m'en défaire comme une vieille fringue démodée et trouée à la poubelle, que je n'allais pas pouvoir la rayer comme si de rien était, à partir de ce jour j'ai compris qu'on n'avait pas besoin de trouver un lien entre nous, de dire si nous sommes meilleures amies, comme des soeurs ou autre, parce qu'au fond, peu m'importe tant que nous restons ce que nous sommes, tant que tu restes qui tu es, tant que je reste qui je suis. Pauline² comme qui dirait.

2 commentaires:

  1. C'est simple de chanter faux avec toi, c'est si simple de te passer mon cousin, c'est si simple de hurler et de jouer à "ouvrir des maisons".
    C'est si simple de passer deux heures autours d'un smoothie et d'un café crème en refaisant le monde ...

    "de dire si nous sommes meilleures amies, comme des soeurs ou autre, parce qu'au fond, peu m'importe tant que nous restons ce que nous sommes, tant que tu restes qui tu es, tant que je reste qui je suis."
    C'est tellement vrai :).

    Je dirais même PAULINE COMME QUI DIRAIT ;D

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